Jeux des histoires

Le but du jeux cest de raconter des histoire triste ...

Je me lance

- Un gars et une fille était sur la route à 100 milles a l'heure sur une moto


La Fille: Ralenti j'ai peur!

Le Gars: Nan arrête c'est marrant!

La Fille: Nan c'est pas marrant, s'il te plait j'ai trop peur!!

Le Gars: Bah dis moi que tu m'aimes...

La Fille: Ok, je t'aime, Ralentis!

Le Gars: Maintenant donne moi un grooos câlin ..
(..La Fille lui fait un câlin..)

Le Gars: Tu peux enlever mon casque et le mettre? Il me gêne.



Dans le journal le lendemain, en première page : Accident de moto, à cause d'un problème de freins,2 personne y était mais un seul y a survécu..



La réalité des choses: À mi chemin sur la route, le gars a réalisé que ses freins ne marchait plus, mais il voulait pas le dire à sa copine. À la place de ça il lui a fait dire qu'elle l'aimait, et a voulu un câlin pour la dernière fois, ensuite il lui a fait mettre son casque pour qu'elle puisse vivre encore même si cela voulait dire qu'il devrait y laisser sa vie pour ça...

Voici une histoire assez triste et touchante que j'ai trouvé sur un blog. Bien entendu, je n'en suis pas l'auteur même si je lui ressemble un peu. Je ne connais pas la fille qui a écrit cette histoire. Lisez-là, même si elle est un peu longue, elle peut faire réfléchir !

J'avais 15 ans lorsque ça m'est arrivé. J'étais une fille timide, réservée à un tel point que les gars me faisaient peur. Dès qu'un gars s'approchait de moi pour me parler je rougissais tellement j'étais mal à l'aise.
C'étais l'été, je passais des vacances un peu particulières puisque j'étais en colonie près d'1 centre de délinquant. On nous avait prévenu que les jeunes du centre avaient commis quelques délits sans gravité mais on devait faire attention et leur parler le moins possible et que de toute façon ils étaient surveillés.
Finalement au bout de quelques temps on a été autorisé à faire quelques activités avec eux pendant trois semaines tout en gardant nos distances. Parmi les jeunes, 1 venait souvent me parler. Au début il m'observait et se contentait de me sourire sans rien dire. Puis quelques jours après il finit par venir me parler. Il avait 17 ans, les cheveux bruns, les yeux d'un noir envoûtant et la peau mate....Avec un corps d'athlète et un regard magnifique il avait plutôt du succès avec les filles mais il était timide lui aussi. Mais surtout il avait su me mettre à l'aise, je le trouvais gentil, adorable, je me sentais bien avec lui. Ma timidité semblait disparaître...Nous sommes devenus alors inséparables, on restait toujours ensemble.
Mais un jour lorsque je me reposais dans ma tente il est venu me rejoindre. Les autres étaient partis à la plage, nous n'étions que tous les deux, personne ne nous surveillait. Il m'a alors demandé:
-Qu'est ce que tu fais?
-Je pense....lui ai-je répondu
-Ah oui? et à quoi? me demande t-il en souriant.
-Que je passe des vacances génial, je me sens bien ici et il ne me reste plus que 4 jours, j'ai pas envi de partir...
-Moi non plus je n'ai pas envi que tu partes...Tu vas me manquer....J'espère que tu me donneras des nouvelles et qu'on se reverra un jour.
-Oui j'espère aussi...
Dans le fond je savais très bien que cela serait comme à chaque vacance, au début on s'écrit souvent et puis le temps passe, on reprend notre vie triste et monotone, les vacances sont déjà loin, on oublie...
Puis il dit:
-Heu... il faut que je te dise quelque chose...
-Oui? dis moi
_Heu...comment dire je....tu me plais beaucoup...tu es très belle. J'ai appris à te connaître avec le temps et ...je suis tombé amoureux de toi...
-...
-Je t'aime !
Je ne m'y attendais tellement pas que je n'ai pas su quoi dire. J'étais très touchée, et très émue, les mots me manquaient.
Puis il s'approche de moi. Tout doucement il me caressait la joue tout en me regardant, je me noyais dans ses yeux noirs, je me laissais faire. Puis il commença à me faire des bisous sur le front, la joue, mon cou et enfin la bouche. Ses lèvres cherchèrent les miennes. Ce baiser fut tellement long et tendre que des sensations bizarres, une étrange chaleur parcouraient tout mon corps.
Puis il me dit:
-Je veux plus ma chérie!
Et là le cauchemar commençait: il enleva sa ceinture, descendit son pantalon et ajouta:
-Je t'aime, je te veux, je veux te faire l'amour...stp dis oui
-Non je t'en pris laisse-moi... arrête
-stp....
Mais il me déshabillait, il commença à me caresser partout, lentement tout en continuant à m'embrasser et à m'enlacer. J'étais paralysée, je n'osais plus rien faire. Il posait ses mains partout, tout au long de mon corps, mon ventre, ma poitrine, mes cuisses puis il finit par entrer en moi.
Je bloquais, je me crispais, j'avais mal....Je n'étais pas prête, pas assez mure, trop jeune et pas assez d'expérience, je n'avais pas envie. Je m'en voulais de me laisser faire, de ne plus bouger, je regrettais de ne pas me débattre mais c'étais plus fort que moi ma timidité avait repris le dessus et j'avais peur....Je me mordis les lèvres pour tenir le coup mais les larmes montaient. Je pleurais, mes larmes coulaient sur mes joues et finalement je l'ai supplié d'arrêter.
Il arrêta tout de suite, essuya mes larmes et me supplia de lui pardonner. Il pleurait à son tour et me dit:
-Excuse moi je ...je ne sais pas ce qu'il ma pris, je ne voulais pas te faire de mal...Je te demande pardon, j 'ai tout gâché je t'en supplie mon amour, je t'aime trop!
-Dis pas n'importe quoi si tu m'aimais vraiment tu n'aurais jamais fait ça. T'es content t'as eu ce que tu voulais. T'es un malade...va-t'en!
Alors je sortis de la tente et courut le plus vite possible vers les douches? Je me sentais sale, du sang avait coulé, je me suis lavée au moins pendant une demi- heure pour enlever "cette saleté" qui ne disparaîtra jamais. J'avais honte, j'avais des remords, des regrets...Je m'étais laisser faire....je ne suis qu'une salope...
Pendant 2 jours je suis restée sous la tente, loin des autres, personne ne s'est rendu compte de ce qu'il se passait. Je ne traînais plus vers le centre.
Je me promenais dans le bois lorsque je l'ai revu. Il s'approcha de moi quand soudain j'ai crié:
-lâche-moi! Laisse-moi tranquille je ne veux plus jamais te revoir! Qu'est ce que tu veux encore? Ça t'a pas suffit?
-Attend, écoute-moi, je ne te ferais rien n'aie pas peur stp.
Je reculais puis je suis restée blotti contre un arbre.
-Tu me manques, je comprends que tu m'en veuilles c'est horrible ce que j'ai fait...Je ne suis qu'un connard, un salaud qui ne sait pas quoi foutre de sa vie, à part foutre la merde et faire souffrir. Je ne te demande pas de me pardonner mais je te jure je t'aime, je ne t'oublierais jamais. Laisse moi te prendre dans mes bras stp...
Il m'enlaçait tendrement tout en séchant ses larmes et les miennes.
-Laisse moi t'embrasser une dernière fois...
Je fermais les yeux et me laissais aller. Il m'embrassa avec une telle force que j'en ai eu le souffle coupé...Il me dit un dernier "je t'aime" et parti.
Je ne l'ai plus jamais revu...
Voilà mon histoire, personne n'est au courant. Je n'ai pas le courage d'en parler, j'ai trop peur, trop honte. Les mots me font peur, je ne les aime pas, j'ai toujours eu du mal à m'exprimer avec les mots d'autant plus que je suis timide et que je n'ai pas confiance en moi. Alors je préfère écrire les mots c'est plus facile .Les mots trahissent mais ils peuvent guérir, exprimer notre douleur cachée au plus profond de soi. Mais comme je ne fais qu'écrire ces mots et que je ne les écris que pour moi, ils ne sont pas fait pour être lu. Le silence règne toujours et personne ne pourra m'aider. Je suis seule, perdue dans ce monde cruel, sans sentiments et sans pitié parfois....Ce monde égoïste, qui se moquent des gens et qui les jugent et qui des fois prend plaisir à faire du mal aux autres. La solidarité n'existe plus, désormais c'est chacun pour soi ici. Nous ne méritons pas de vivre. Je n'ai pas demandé de vivre alors laissez-moi seule, loin de vous. Je ne souhaite pas vivre et il y a longtemps que je suis morte. Physiquement je suis là mais moralement je ne vis plus...mon corps pleure de désespoir....

A vous de juger si l'histoire est réelle ou non.

ok !
c'est bien mais pas trow ' a mon gôut !!

Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui...

Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: " Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience:
"tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " .


Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes.
Puis elle partit rapidement.

Le petit garçon tenait toujours la poupée
dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé
à qui il voulait donner la poupée.
" C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël
Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait
"Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter."
Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve
maintenant... "

"Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte"
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.
"Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur "
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.


Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin "
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça,elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur"
Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouilla dans mon sac à mains, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? "
"OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez" .


Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.
Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous".
Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de
s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."


Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé.


Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d' ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.
La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée.
La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur.
Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame.


Elle était là,
tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé...

trOw' triiste les hiistOiires

Il était une fois... un garçon qui naquit malade. D'une maladie qui n'avait pas de cure. Il avait 17 ans et pouvait mourir à n'importe quel moment
Il vivait toujours chez sa mère sous l'attention de cette dernière.
C'était dur et il décida de partir seulement pour une fois. Il demanda la permission à sa mère qui la lui donna. En marchant dans son quartier, il vit beaucoup de boutiques. En passant devant un magasin de musique et en regardant la vitrine, >il nota la présence d'une fille très tendre de son âge.
Ce fut le coup de foudre. Il ouvrit la porte et entra en ne regardant qu'elle.
En s'approchant peu à peu, il arriva au comptoir où elle se trouvait.
Elle le regarda et lui demanda en souriant : "Je peux t'aider?"
Il pensa que c'était le sourire le plus beau qu'il avait vu de toute sa vie.
Il sentit le désir de l'embrasser en ce même instant.
Il lui dit en bégayant : "Oui, heeeuuu,... J'aimerais acheter un CD"
Sans réfléchir, il prit le premier qu'il vit et lui donna l'argent
"Tu veux que je te l'emballe ?" demanda la fille en souriant de nouveau.
Il répondit que oui, en bougeant la tête, et elle alla dans l'arrière-boutique pour revenir avec le paquet emballé et le lui remettre.
Il le prit et sortit du magasin.
Il s'en alla à sa maison, et depuis ce jour, il alla au magasin tous les jours pour acheter un CD.
Elle les lui emballait toujours, pour qu'ensuite il les emporte à sa maison et les range dans son armoire.
Il était trop timide pour l'inviter à sortir, et, même s'il essayait, il n'y arrivait pas.
Sa mère fut mise au courant de cela et tenta de l'encourager à
s'aventurer, de sorte que le jour suivant, il s'arma de courage et
se dirigea au magasin. Comme tous les autres jours, il acheta une
fois de plus un CD et comme toujours, elle s'en alla derrière pour
l'emballer.
Elle prit donc le CD et pendant qu'elle l'emballait, il laissa
rapidement son numéro de téléphone sur le comptoir et s'en alla en
courant du magasin.
Le lendemain, Drringggg!!! Sa mère répondit: "Allô?", c'était la
fille qui demandait pour son fils et la mère, inconsolable, commença à
pleurer pendant qu'elle disait : > "Quoi, tu ne sais pas ?. Il est mort hier".
Il y eut un silence prolongé, excepté les lamentations de la mère.
Plus tard, la maman entra dans la chambre de son fils pour se rappeler de lui. Elle décida de commencer par regarder ses vêtements de sorte qu'elle ouvrit son armoire.
Elle eut la surprise de se heurter à des montagnes de CD emballés.
Aucun n'était ouvert. Le fait de voir autant de CD la rendit curieuse et elle ne résista pas : elle prit un CD et s'assit sur le lit pour l'ouvrir ; en faisant
cela, un petit bout de papier tomba de la boîte plastique. La maman le rattrapa et le lut, il disait : "Salut!!! T'es super mignon, tu veux sortir avec moi ?". Sofia.
Avec beaucoup d'émotion, la mère ouvrit un autre CD, encore d'autres
et dans plusieurs se trouvaient des bouts de papier qui disaient la même chose

Moralité : Ainsi est la vie, n'attends pas trop pour dire à quelqu'un de spécial ce que tu ressens. Dis-le aujourd'hui.
Demain, ça peut être trop tard.
Donne un bisou à quelqu'un que tu aimes et ça fera de la magie.
Avec de l'amour tout est possible.

C'est trop triste vos histoire ....